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Biography​

Songwriter and bassist-singer with an irresistible groove, Luc Blackstone is influenced by musicians such as Buddy Guy, John Mayer, Prince, Albert Collins, and Toto. His warm voice, combined with his stage presence and charisma, has established his reputation.

His music draws from the blues, yet openly embraces influences from other musical styles, such as rock, pop, and funk.

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LIBERTY, isn’t it all what we want ?

“Street Cats”, Luc Blackstone live from january 28, 2023

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New album 2023 : I’m coming

I’m coming

Released: 15/10/2023
Label: self-production
Format: Digital Download, CD

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Who are you Luc Blackstone ?

Bassiste Magazine fev 2024
© Bassiste magazine
💿▶︎CD enclenché, « I’m Coming » ouvre ce nouvel opus éponyme du bassiste et chanteur Luc Blackstone. Depuis l’album précédent (Gonna Make You Shine, paru en 2021), on attend volontiers l’auteur-compositeur dans le blues majoritaire, la soul cuivrée ou les syncopes du funk. Or voici que les doux arpèges d’une guitare acoustique s’égrènent d’abord dans le suave, le cristal. Un Fender Rhodes numérisé vient napper cette introduction onirique. Des froissements de cymbales annoncent le pilonnage mat de la caisse claire (Denis Palatin à la batterie). D’un phrasé délicat, dans le grave de l’harmonie, voici que s’avance cette basse à la fois ronde et carrée d’épaules. Les quatre cordes de Blackstone poussent peu à peu la composition vers son climax, une acmé rock et sophistiquée.
Et la voix vous attrape.
Un timbre rare, sinon unique ! On pense par éclairs à celui du chanteur Bobby « Blue » Bland en duo avec BB King dans le milieu des 70’s. Étranglé volontaire, solidement calé entre gorge et palais, abrasif, ce chant relâché s’apparente parfois à un feulement animal. Il ne force jamais. II souffle en puissance avec une douceur inattendue, notamment en regard de la carrure du bonhomme. Ainsi, la mélodie addictive de « I’m Coming » s’impose comme tube d’accueil, imparable.
Plus loin, sur d’autres compositions également conquérantes et quasi pop rock comme « Week » (son intro groovy et son chorus de guitare lysergique) ou l’excellent « Love Me » (dont l’ad lib évoque les arrangements du groupe Chicago de 1969), une inspiration Toto assumée imprègne avec élégance la production d’un album délibérément éclectique. Solide comme le rock, Blackstone notre géant de Semur-en-Brionnais fan de Buddy Guy et John Mayer comme du B.T Express, de Tower of Power ou Herbie Hancock y ventile également le blues, le funk ou la soul.
C’est le cas dès « The Girl » qui enchaîne d’une claque de cuivres. La guitare du virtuose Manu Rodier décoche un phrasé étourdissant. La voix du leader, toujours suave, susurre la frustration, les illusions et fantasmes masculins déclenchés par une gravure de mode sur papier glacé. Au refrain l’inflexion tourne tout à coup en mode ternaire, jazzy. Ponctué par une section de cuivres rutilante (Christophe Nègre, Éric Giausserand, Fabien Cyprien) et nappé par l’orgue churchy de Fred Adrignola, ce brûlot de soul métisse nous ramène alors vers les racines du Southside Chicago.
« You’re Driving Me Crazy », un blues étiré en mode mineur, exposé par un Manu Rodier en état de grâce (écoutez donc le chorus!) vire au bleu nuit alors que l’amour met les voiles. Il faut maintenant oublier. Il faut noyer ses contradictions dans le marc, ses ambiguïtés dans le Bourgogne.
Torride, massif, implacablement dansant, « Two Hearts » vient à point pour régler sur les charbons ardents d’un dance floor funk les questionnements gémellaires de l’auteur : « I am a man with two faces, sometimes Jekill, sometimes Hyde… Two hearts for only one body ». Pour l’occasion Blackstone sort les bûches. Il pousse la température vocale, s’autorise même un proto rap avant de finir en transes sur un tapis de cuivres ondulatoires et une rythmique sans pitié pour nos Repetto.
« Ah, ah ! This is my fonky side, guys… » Le bien nommé « Funk It ! », quasi instrumental, se présente comme une jam déhanchée que survole notamment le saxophone ténor de Christophe Nègre. Orthodoxe, posé sur le « One » (le premier temps de la mesure si bien défini par James Brown, puis par Bootsy Collins), le titre conclut le bal dans l’allégresse, au milieu des danseurs fourbus.
Encore ! Encore ! Et c’est le bonus. « I’m Walking », un shuffle blues furieux, enregistré live, parachève cet album kaléidoscopique, inspiré, gorgé de feeling.
Luc Blackstone, la soixantaine rayonnante, a longtemps joué de sa basse enveloppante aux côtés de grands noms du blues US (Zakya Hooker, Maurice John Vaughn, Donald Ray Johnson, Zora Young… ). À leur contact, au fil de tournées internationales dès 2000, il a appris à toucher l’os des choses. « Le plus important pour ces Américains, avant la technique, c’est le groove, l’énergie. Il faut que le public ait le sourire. Maurice (John Vaughn) me disait : « Si les pieds du public bougent, c’est déjà en partie gagné !” ». Mission accomplie, pari gagné avec cet album luxueux habillé comme le précédent d’une belle peinture au couteau de Raphaël “Kayende” Louis-Louisy.
© Robert Lapassade
C’est super chouette Luc, j’aime beaucoup ta voix. Superbe grooves à la basse. Bravo !!! 👏👍
© Markus Fortunato
J’ai eu la chance d’avoir reçu le nouvel album de Luc Blackstone band il y a une dizaine de jours…
Je l’écoute en boucle depuis, et ne m’en lasse pas. Mais quel album !! J’étais grand fan de Luc bassiste et Luc chanteur et j’avais beaucoup aimé l’album précédent. Mais là on passe sur un autre level : 8 morceaux tous différents, on passe du rock au blues au funk et j’en passe, mais avec la patte Luc Blackstone bien reconnaissable…
Des arrangements magnifiques, une production sans défaut, des musiciens, non mais des musiciens !! 😱 Des solos de guitare de fou (Van halen sors de ce corps), des envolés de cuivres de toute beauté, un batteur de malade, et Luc, la force tranquille à la basse et sa voix magnifique..
Merci Luc pour ce cadeau, il y avait un moment que je n’avais pas kiffé un album à ce point 😌
Achetez le, vraiment vous ne le regretterez pas 🙏
Dans le cas contraire je vous le rembourse…😁
Promis !
© Alain Simonet
Bien qu’estampillé dans la catégorie “blues“, ce nouvel album du bassiste-chanteur-auteur-compositeur Luc Blackstone ne se cantonne pas au 12 mesures et explore autour du périmètre bluesy classique. Le morceau-titre Gonna make you shine par exemple, est un rock énergique et rapide avec son refrain entêtant et son solo de guitare virtuose. Street Cats baigne dans une ambiance nocturne avec des arrangements parfois presque pop. Le feeling funky est bien présent dès l’ouverture Come back et surtout sur Road runner avec sa wah-wah et ses cuivres dansants, tandis que son solo de guitare surfe sur les terres du jazz-rock, et le final nous évoque les bande-son des films des seventies. Dans un autre registre, I’m good alterne un riff à la Crosscut saw avec un shuffle ternaire très swinguant.
Son nouvel album, sorti cette année en auto-production, annonce l’intention dès son titre : « Gonna make you shine » (« Je vais vous faire rayonner »). On trouve ici beaucoup de bienveillance et d’énergie positive, à l’image du morceau titre, enjoué et groovy.
L’originalité de la musique est qu’elle brasse de nombreuses influences : du blues, bien sûr, mais aussi de la funk (les rythmiques toniques de « Road runners  », « Come back »), du rock métissé (on pense souvent à Toto, comme sur l’excellent « Street cats », qui culmine à plus de 6 minutes), et de la soul.
…la magie opère. La voix chaude et le groove implacable de Luc nous entraine dans un Blues au Swing irrésistible, aux accents Funky, Rock et Soul. Les morceaux déroulent naturellement, changement de styles et de rythmes, tout est parfaitement en place et chacun des intervenants peut y exprimer son talent. Un cocktail revigorant qui donne la pêche, ça pétille, c’est frais. A consommer et partager sans modération.
Puis sa vie bascule au début des années 2000 lorsqu’une connaissance le sollicite pour accompagner des bluesmen américains en tournée en France : Maurice John Vaughn et Donald Ray Johnson. Il passera près de 10 ans à leurs côtés, en Europe, en Amérique ou en Afrique. Une formation précieuse.
Biberonné au son des Buddy Guy, Albert Collins et autres Prince, l’artiste débarque cette année avec un album personnel pour lequel il a fait appel à quelques complices comme Manu Rodier aux guitares, Fred Adrignola aux claviers, Denis Palatin à la batterie, Christophe Nègre aux saxophones et Eric Giausserand à la trompette et c’est remonté comme un coucou suisse que le Luc Blackstone Band s’en vient nous conter pas moins de huit histoires, rien que des pièces originales, dans lesquelles le funk et la soul mais aussi le blues et le swing sont de la partie. La voix chaude et les accents de crooner du frontman se révèlent être un ingrédient indispensable mais c’est sur fond d’instrumentations parfaites et d’arrangements de cuivres toujours très pointilleux que le groupe met les petits plats dans les grands avec des compositions bien ficelées et très abouties, … la découverte de « Gonna Make You Shine » s’impose !
Fred Delforge, Zicazic, Mai 2021
Un concert exceptionnel où la voix chaude du chanteur, sa présence scénique et son charisme seront à la hauteur de sa renommée.
La musique de Luc Blackstone emprunte sa plus large part au blues mais ne cache absolument pas l’incidence d’autres styles musicaux comme le rock et le funk.
Louis-Vianney Leclerc, La renaissance hebdo, Janvier 2023
un groupe local qui déjà rayonne dans l’hexagone, « Luc Blackstone Band », au travers d’un blues chaud bouillant soutenu par une voix hors du commun !
Alexandra Tissot, Le bruit qui court, Septembre 2019

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